Les effets secondaires des vaccins anti-covid: une réalité occultée ou minimisée

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Paolo Gulisano énumère les rapports inquiétants (et nullement négligeables en gravité et en nombre, comme on voudrait nous le faire croire) et peu médiatisés en provenance d’Italie, d’Allemagne et de Grande-Bretagne. Et souligne le « deux poids deux mesures » qui préside à la gestion de la crise, qui fait qu’on amplifie démesurément les effets secondaires des traitements « simples » comme la chloroquine et les antibiotiques, mais qu’on minimise largement ceux liés aux vaccins: si la chloroquine avait causé 173 décès en un mois (comme c’est le cas outre-Manche avec le vaccin Pfizer), il aurait déjà été retiré du marché!

Les effets secondaires possibles des médicaments utilisés contre le covid ont toujours été exagérés afin de bloquer leur utilisation. Mais pour les vaccins, c’est la méthode inverse qui est utilisée: ils sont minimisés. Pourtant, les premières données en provenance d’Italie, d’Allemagne et du Royaume-Uni nous apprennent qu’il y a un nombre important de signalisations d’effets indésirables. En Italie, 7 337 signalisations, dont 7,6% de graves et même 13 décès dans les heures suivant la vaccination. Au Royaume-Uni, on parle même de 173 décès et de plus de 70 000 réactions indésirables. Il faudrait certainement vérifier le lien de causalité pour tous les cas, mais les données sont de toute façon impressionnantes, confirmation qu’une expérimentation de masse est en cours.

Les médicaments sont le moyen par lequel nous pouvons nous défendre contre les maladies, par lequel nous pouvons nous soigner. Chaque médicament, comme on le sait, peut aussi avoir des effets secondaires, qui sont toujours consciencieusement signalés dans les notices techniques. Les effets secondaires sont un prix à payer pour la guérison. Il existe un rapport coût-bénéfice, ou risque-bénéfice, pour chaque médicament. Au cours des derniers mois, on nous l’a amplement démontré quand il s’agissait de l’utilisation de médicaments déterminés pour traiter le Covid.

Chaque fois que l’utilisation d’un médicament déterminé était proposée, des antibiotiques à la cortisone, de l’aspirine à la chloroquine, cela a invariablement déclenché une communication médiatique tendant à souligner à l’extrême les effets secondaires possibles.

Et les vaccins? Ici, curieusement, se produit un phénomène inverse: la minimisation. Même dans le cas de décès survenus dans des maisons de retraite, on a entendu dire que ces nonagénaires morts dans les jours suivant la vaccination, seraient morts de toute façon étant donné leur âge et leur mauvaise santé. Ce qu’on aurait pu dire aussi des dizaines de milliers de personnes de plus de quatre-vingts ans atteintes de maladies chroniques graves dont la mort a été attribuée au Covid, contracté peut-être dans un état terminal. Deux poids et deux mesures : la règle non écrite qui dirige la gestion de la pandémie.

Mais revenons aux effets secondaires : nous disposons maintenant de données officielles concernant les effets indésirables des vaccins anti-Covid.
L’AIFA [Agenzia Italiana del Farmaco] a publié ces derniers jours le premier rapport de pharmacovigilance sur les vaccins anti Covid-19. Les données concernent les notifications d’effets indésirables présumés enregistrées dans le réseau national de pharmacovigilance. La période analysée va du 27 décembre 2020 au 26 janvier 2021 et les vaccins examinés sont deux: celui de Pfizer et celui de Moderna. Par ailleurs, les rapports concernent principalement la première dose du vaccin Pfizer (99%) et seulement dans une moindre mesure le vaccin Moderna (1%).

Cela signifie qu’il n’y a pas de rapports sur les effets de la deuxième dose, qui est celle qui crée en fait le plus de problèmes. 7 337 notifications d’effets indésirables ont été reçues sur un total de 1 564 090 doses administrées, dont 92,4 % d’événements non graves. Sur les 7,6 % d’événements définis comme « graves », on ne sait rien car les évaluations sont toujours en cours. Enfin, 13 décès ont également été signalés dans les heures qui ont suivi la vaccination.

S’il est vrai, comme nous l’avons dit au début, que les effets secondaires d’un médicament sont parfois un prix acceptable à payer pour obtenir un remède, dans le cas des vaccins, il s’agit de personnes en bonne santé qui, pour prévenir une éventuelle maladie, et non pour la traiter, ont perdu la vie ou ont subi des dommages pour leur santé. Un chiffre significatif qui devrait faire réfléchir ceux qui continuent à magnifier ce qu’ils appellent « l’antidote ».  
Il convient de souligner un autre aspect important: cette population vaccinée est en grande partie composée d’agents de santé, et donc aussi de jeunes. En outre, comme il n’existe pas en Italie de pharmaco-vigilance active, le nombre d’effets indésirables fourni par l’AIFA pourrait être largement sous-estimé.

Mais les effets secondaires des vaccins arrivent de toute l’Europe: en Allemagne, le journal Die Welt a fait état de lourds effets secondaires provoqués par le vaccin AztraZeneca chez le personnel des hôpitaux et des cliniques de Westphalie, où les employés ont déclaré ressentir un tel épuisement et des douleurs osseuses telles qu’ils ne peuvent même pas se tenir debout. Dans un hôpital, 37 personnes sur 88 sont malades et, par conséquent, d’autres cliniques ont annoncé qu’elles suspendaient les vaccinations.

Enfin, d’autres données significatives proviennent de Grande-Bretagne. Ici, le gouvernement a rendu publiques des données sur les effets secondaires du vaccin Pfizer, en l’occurence des rapports spontanés: ce qui signifie que le lien de causalité n’a pas encore été vérifié, mais aussi que les effets indésirables pourraient être beaucoup plus nombreux, puisque tout le monde ne les signale pas. Il s’agit toutefois de données significatives: 70 314 événements indésirables ont été signalés dans le rapport, avec 173 décès. Un nombre impressionnant. Si un médicament, par exemple la chloroquine, avait causé 173 décès en un mois, il aurait déjà été retiré du marché.

Le rapport britannique détaille le type de dommages collatéraux, dont la plupart sont ceux liés à la maladie. L’éventail des troubles va des troubles métaboliques aux troubles ostéomusculaires, en passant par d’autres types de conséquences très inquiétantes – notamment parce qu’ils sont responsables de la majorité des décès, de nature neurologique et cérébrovasculaire. Troubles nerveux, syncopes, symptômes épileptiques, maux de tête, tremblements. Il y a aussi eu 5 avortements chez des femmes enceintes vaccinées.

Il y a également eu 990 cas de troubles mentaux et d’altérations post-vaccinales. Les troubles respiratoires ont atteint 2903, avec 9 décès. Décès de pneumonie pour un vaccin qui devrait prévenir la pneumonie. Très nombreuses aussi les réactions de type allergique, surtout pour la peau, avec 4792 cas de dermatites, d’herpès, d’urticaire. Enfin, 803 réactions de type circulatoire, essentiellement des vascularites, voire mortelles.

C’est un rapport impressionnant. Aucun vaccin en usage ne présente autant de réactions indésirables. Mais d’un autre côté, les vaccins en usage sont des produits qui ont passé des phases de préparation longues et minutieuses. Pour les vaccins Covid, comme nous l’avons toujours dit, il y a eu beaucoup, beaucoup trop de précipitation, et des expérimentations de masse ont été entreprises. Voilà les résultats, et nous n’en sommes qu’au début. 

http://www.benoit-et-moi.fr/2020/2021/02/22/les-effets-secondaires-des-vaccins-anti-covid-une-realite-occultee-ou-minimisee/

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