
Un mio articolo è stato pubblicato sul sito Benoit et Moi.
Paolo Gulisano énumère les rapports inquiétants (et nullement négligeables en gravité et en nombre, comme on voudrait nous le faire croire) et peu médiatisés en provenance d’Italie, d’Allemagne et de Grande-Bretagne. Et souligne le « deux poids deux mesures » qui préside à la gestion de la crise, qui fait qu’on amplifie démesurément les effets secondaires des traitements « simples » comme la chloroquine et les antibiotiques, mais qu’on minimise largement ceux liés aux vaccins: si la chloroquine avait causé 173 décès en un mois (comme c’est le cas outre-Manche avec le vaccin Pfizer), il aurait déjà été retiré du marché!
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